Aprés la projection de Entre les murs, de Laurent Cantet.
J'ai retenu donc quelques phrases et bouts de phrases, paroles ou expressions.
"On est toujours l'imbécile de quelqu'un."
"Si ce que tu as à dire est moins important que le silence, alors tais-toi."
"(...) acheter la paix sociale."
"(...) crier avant que ça soit juger."
J'ai retenu donc quelques phrases et bouts de phrases, paroles ou expressions.
"On est toujours l'imbécile de quelqu'un."
"Si ce que tu as à dire est moins important que le silence, alors tais-toi."
"(...) acheter la paix sociale."
"(...) crier avant que ça soit juger."
Et la phrase de fin de séance :
Ceci dit j'aurai quand même eu le temps d'écrire quelques notes, sensations ou impressions personnelles par rapport au film.
Tout d'abord, on remarque que le cadrage du film est souvent en gros plans (non je ne suis pas une pro de la caméra mais j'ai quand même remarqué ça, wahou!). Ces cadrages permettent d'instaurer une plus grande intimité entre les personnages et le spectateur, on entre réellement dans l'histoire. Le regard du extérieur est mieux intégré.
De même on est tour à tour dans la peau du prof et des élèves.
Tout ce blabla pour dire que c'est vraiment bien filmé et qu'on entre bien dans le sujet.
Difficulté de communication, tension, respect, fiction-réalité.
C'est un film à la fois documentaire :les acteurs ne sont pas professionnels et vivent dans la situation qu'ils jouent, et une fiction. Le spectateur peut en effet imaginer et poursuivre l'histoire lors des ellipses ... (oui je suis fatiguée je ne sais pas trop comment expliquer tout ça !)
Le spectateur prend donc part et partie de l'histoire.
"Entre les murs", le titre film porte bien son nom (heureusement ceci dit!) puisque la caméra est presque toujours intérieure au bâtiment, elle fait "corps" avec le collège.
Enfin un petit bref: on peut considérer ce film comme étant une fiction-réalité, le suivi d'un professeur de français en banlieue parisienne qui se bat pour une meilleure communication prof-élève et une meilleure intégration de l'élève dans le réseau social. (si l'on peut dire ça comme ça.)
Tout ça était en effet très brouilloneux, mais c'était juste une petite base de réflexion sur un film interessant.
Fin
"Il faut évacuer la salle" (merci Monsieur le Projectiste)
Ceci dit j'aurai quand même eu le temps d'écrire quelques notes, sensations ou impressions personnelles par rapport au film.
Tout d'abord, on remarque que le cadrage du film est souvent en gros plans (non je ne suis pas une pro de la caméra mais j'ai quand même remarqué ça, wahou!). Ces cadrages permettent d'instaurer une plus grande intimité entre les personnages et le spectateur, on entre réellement dans l'histoire. Le regard du extérieur est mieux intégré.
De même on est tour à tour dans la peau du prof et des élèves.
Tout ce blabla pour dire que c'est vraiment bien filmé et qu'on entre bien dans le sujet.
Difficulté de communication, tension, respect, fiction-réalité.
C'est un film à la fois documentaire :les acteurs ne sont pas professionnels et vivent dans la situation qu'ils jouent, et une fiction. Le spectateur peut en effet imaginer et poursuivre l'histoire lors des ellipses ... (oui je suis fatiguée je ne sais pas trop comment expliquer tout ça !)
Le spectateur prend donc part et partie de l'histoire.
"Entre les murs", le titre film porte bien son nom (heureusement ceci dit!) puisque la caméra est presque toujours intérieure au bâtiment, elle fait "corps" avec le collège.
Enfin un petit bref: on peut considérer ce film comme étant une fiction-réalité, le suivi d'un professeur de français en banlieue parisienne qui se bat pour une meilleure communication prof-élève et une meilleure intégration de l'élève dans le réseau social. (si l'on peut dire ça comme ça.)
Tout ça était en effet très brouilloneux, mais c'était juste une petite base de réflexion sur un film interessant.
Fin
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